Vidéo informative à l’intention des réfugiés
Langue
Allemand, Anglais, Arabe, Tigrinya
Traumatismes, problèmes de santé et manque de connaissances sur les effets des médicaments conduisent souvent, en particulier chez les jeunes femmes réfugiées, à une consommation fréquente et à fortes doses d’antidouleurs, de somnifères et de calmants, avec le risque de devenir dépendant. La vidéo explique dans quelle mesure les médicaments peuvent aussi avoir des effets néfastes, pourquoi il doivent être prescrits par des médecins et tenus hors de portée des enfants. Elle indique également où les personnes concernées peuvent obtenir de l’aide.
Certaines personnes disent que l’alcool, le cannabis ou d’autres drogues les aident à - Se sentir mieux - Oublier leurs soucis - S’intégrer dans un groupe d’ami-e-s - Passer le temps - Trouver le sommeil Ces substances donnent l’impression que les probl…
Les personnes qui déposent une demande d’asile en Suisse ont traversé des épreuves conséquentes, dans leur pays d’origine ou durant les étapes de leur migration. Une fois en Suisse, elles sont confrontées à un contexte de vie souvent difficile, rempli d’in…
Le stress chronique, de même que les situations de crise aiguë, sont difficiles à supporter. En présence de symptômes tels que nervosité, agitation, insomnies ou angoisses, les médecins prescrivent souvent des benzodiazépines ou des substances analogues. C…
Une personne sur dix en Suisse prend des médicaments passibles d’entraîner une dépendance. Les médicaments en question sont surtout des somnifères, des antalgiques et des tranquillisants à base de benzodiazépine. Les benzodiazépines ont un fort potentiel d…
La Croix-Rouge suisse développe et coordonne migesplus.ch sur mandat de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP).
